Ainsi dans la ville rentraient en foule des Troyens, epouvantes comme de jeunes faons ; l’ensemble de, appuyes contre les hauts remparts, ils sechaient la sueur, et buvaient Afin de apaiser leur soif devorante.
Cependant nos Grecs s’approchaient des murs, en se couvrant les epaules de leurs boucliers.
Le seul Hector, qu’enchaine 1 destin malheureux, reste reste hors d’Ilion, devant les portes Scees.