Evoquer Napoleon en le placant face a la litterature, peut sembler la realisation d’un exercice simple, le suivi d’un principe enfantin, la concretisation d’une affaire, somme toute : banale.
Avant d’entrer au enormement c?ur de mon theme, qui ne se limitera gui?re a un face-a-face entre Napoleon et Victor Hugo ou uniquement avec des ecrivains francais et du dix-neuvieme siecle exclusivement, pour des raisons que j’essaierai dans une minute de vous expliquer logiquement, je tiens a exprimer a Monsieur Salasca ainsi qu’a Monsieur le maire Xavier Lacombe, mes remerciements tres sinceres et les plus chaleureux pour ne m’avoir pas finalement, malgre nos apparences que je viens de vous signaler, donne ce qu’il pourrait etre convenu d’appeler: « une tache intuitive ou facile».
Dans les faits, l’evidence, la facilite, la banalite, tout ce dont je vous ai parle des l’abord, ne semblent que des criteres, des qualificatifs insuffisants en ce qu’ils n’ont manifestement, apres un examen attentif, rien a voir ni avec Napoleon, ni avec la litterature.
Disons-le, un brin brutalement: aussi en maniant le romantisme au pluriel, meme en interrogeant la dimension de heros de Napoleon, le recours a la litterature, il conviendrait d’indiquer immediatement: nos litteratures, s’impose. Cela reste, votre recours, inevitable.